Okiya, c’est la rencontre d’un samourai avec une geisha. Le coté sombre du Guerrier qui rencontre la pureté d’une Dame de compagnie. On le retrouve au travers d’une balade dans le restaurant. Un sol gris anthracite, ponctué d’une poudre cuivré, quatres zones isolées par des panneaux verticaux, dont chacune montre un aspect de la culture japonaise.
Assis par terre, au sushi bar ou bien au teppanyaki on pourra à chaque fois découvrir le lieu d’une nouvelle manière. C’est une balade culturelle : les calligraphies japonaises de l’artiste Kametani Kakushô, les gravures de Fiona Neve, et les peintures de Dominique Maigrot façonnent le lieu.